Comment être sauvé de la souffrance

Le force universelle de ce que  certain nomme Dieu nous sauve. Ce texte vous dit pourquoi et comment c'est possible en ayant conscience d'elle dans notre vie quotidienne.


Les textes de ce blog ont été inspirés par la méditation. En Inde, on leur donne le nom de «satsang». Certains mots sont des liens qui mènent à des explations détaillées. Si la spiritualité vous intéresse, vous pouvez lire ces textes. Une précision encore : la spiritualité n'est pas une religion.



On entend souvent dire sur La Voie que le Saint-Nom est notre planche de salut. Plus, je pratique et plus je me rends compte que c'est totalement vrai. 

Quand je suis consciente du Saint-Nom par la pratique du Service, je reste regroupée, rassemblée en Lui et j'évite ainsi de m'éparpiller dans les choses, de partir dans les choses et de finir dans la confusion. Ma conscience est centrée sur lui et en conséquence je profite de ses bienfaits, de sa douceur car je suis accrochée à lui comme une moule sur son rocher, comme un naufragé sur sa planche. Tout est dit, c'est tout. Il est vraiment notre planche de salut quand on veut éviter de partir dans la confusion, de s'éparpiller dans les choses du monde. Il est notre refuge intérieur, l'œil du cyclone, le rocher sur lequel on peut bâtir, on peut dire plein de choses mais en fait, il nous sauve. C'est tout et c'est tellement !

Il suffit de pratiquer, tous les jours, à chaque instant, jour après jour. C'est la meilleure chose qu'on puisse faire, c'est le meilleur état dans lequel on puisse être pour traverser cette existence en profitant de ce cadeau qu'est la vie, l'existence sur terre. Oui, c'est un cadeau ! C'est quand on a conscience d'être en vie qu'on se rend compte que la vie est un cadeau et qu'on peut en profiter pleinement. 

C'est en pratiquant qu'on peut en profiter et rendre grâce concrètement de ce cadeau. En plus, on est sous sa Grâce et sa Guidance, on peut s'abandonner à Lui. Que veut-on de plus ? Il suffit d'observer l'Agya, d'être dans la pratique constante. C'est la constance qui est importante. Il y a des jours où on est plus dedans et des jours moins, c'est normal. L'important est d'être au maximum de ce qu'on peut faire, chaque jour, à chaque instant. 

Il ne faut pas écouter ce que cette petite voix intérieure peut nous raconter, il vaut mieux écouter le Saint-Nom. De toute manière, on est si bien en Lui ! C'est n'est pas une corvée ni une punition d'être consciente de l'Amour de Dieu !

C'est bien plus agréable d'écouter le Saint-Nom que d'écouter le faux-égo, c'est plus agréable d'être détaché de ses peurs que de s'y accrocher à tous prix et de plonger dans ses ténèbres. C'est bien plus agréable d'être dans la douceur du Saint-Nom que dans la souffrance de la confusion, évidemment.

Pratiquer, observer toutes les composantes de l'Agya, c'est dans ce creuset qu'on peut en ressortir la substantifique moelle et être dans le meilleur état possible pour vivre. C'est comme quand on mange vraiment sainement, on a le meilleur état de santé possible et par conséquent dans le meilleur état de conscience possible pour vivre et ça c'est bien.

Si vous avez des questions à propos de ce satsang ou si vous voulez en savoir plus sur la pratique de cette voie spirituelle, vous pouvez me laisser un message à nandi.alaya@gmail.com

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Laisser faire la Grâce

Yaourt et spiritualité