mercredi 26 décembre 2018

Le goût de la vie



Quand je suis consciente du Saint-Nom, c'est beau, c'est parfait, c'est harmonieux, c'est doux, c'est agréable, c'est plein de paix, d'amour, de joie. C'est merveilleux d'être consciente du Saint-Nom, c'est quelque chose qu'on ne peut pas vraiment imaginer tant qu'on ne l'a pas fait, qu'on n'est pas aller mettre sa conscience dans ce Saint-Nom.

Cette douceur qui m'envahit quand je suis en Lui me donne la pleine joie de vivre, m'ouvre les yeux, me permet de voir le monde avec plus d'objectivité, avec plus de recul. Les problèmes reprennent leur juste mesure.

Je fais ce qu'il y a à faire quand il le faut et comme il le faut et je me rends compte que cela me met dans cette harmonie et quand je suis dans cette harmonie, je fais les choses harmonieusement et automatiquement comme il le faut et quand il le faut.

La vie devient goûteuse et je me prends à avoir envie d'aimer le monde entier alors que ce n'est pas la première chose qui me viendrait à l'esprit quand je ne suis pas dans le Saint-Nom.

Quand je suis en Lui, c'est une autre existence, la vie est complètement différente. Il y a une autre dimension qui s'ajoute ce qui lui donne une couleur différente, je vois à l'extérieur la présence du Saint-Nom et je m'émerveille pour un oui et pour un non, une petite fleur, un rayon de soleil. Je vois sa Grâce, sa Guidance pour plein de choses qui m'arrivent. C'est la Grâce qui me fait un clin d'œil qui m'accompagne. J'en suis heureuse et reconnaissante.

Je me rends bien compte que c'est grâce à l'observance des 3 piliers de la Voie que cette vie d'aujourd'hui est possible. C'est simplement par cette pratique : satsang, service, méditation.

Il y a des jours où c'est plus compliqué et d'autres où ça va tout seul mais ce n'est pas grave, ce qui compte est la constance. Il faut aussi lâcher prise sur le fait de toujours vouloir le faire parfaitement bien, de ne pas être contente de ma pratique, je vois bien que je dois aussi lâcher prise la dessus.

Que puis-je faire ? Pas grand chose… il faut le laisser faire mais pour être dans cette posture intérieure optimale, cela demande de l'énergie. Ouvrir les poings demande un effort.

On peut lâcher prise aussi à propos de la pratique évidemment, il y a toujours de la marge. Je découvre sans cesse que je peux encore lâcher prise et m'en remettre à lui, être dans le Saint-Nom. C'est une vie merveilleuse.

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Ambassadeurs du bonheur

La vérité sur le Saint-Nom

samedi 22 décembre 2018

La Vérité existe, c'est un fait



En fait, c'est très simple de pratiquer, il suffit de le faire sans se prendre la tête, sans y mettre du sien. C'est moins évident… la posture intérieure, elle s'affine au fil du temps, elle devient de plus en plus évidente, claire, précise, on comprend alors seulement véritablement ce que signifie d'être humble, simple, détaché. C'est en passant d'abord par la pratique qu'on a cette compréhension vraie. 

Cette compréhension apparaît qu'on le veuille ou non comme une évidence à force de pratiquer, il y a des choses qui apparaissent comme évidentes et vraies. On ne peut pas avoir de doute sur cette vérité-là parce qu'on la fréquente. En pratiquant les 3 piliers de la Voie, on fréquente cette vérité et à un moment donné, on est obligé de mettre le mot « Vérité » sur cette chose-là, on a pas le choix, il n'y a que ce mot qui va. 


En vertu de la conscience acquise dans sa vie passée, il est tout naturellement porté vers La Voie, parfois même à son insu et transcende toutes les écritures. L'être, libéré des ténèbres, qui s'efforce de parfaire sa réalisation, atteindra après maintes vies d'intense
pratique, la Libération.
(Chant du Bienheureux chap. 5.15)




Ça peut déranger, choquer mais peu importe parce quand on a vraiment soif de cette Vérité, on passe par dessus ces idées, ses avis, ses opinions, ces croyances, ces connaissances et cette peur aussi qu'on peut avoir de s'engager. Quand la soif est plus forte on passe dessus à grandes enjambées et on plonge tête baissée dans la pratique. 




On s'aperçoit ensuite qu'effectivement les éventuelles promesses sont tenues parce qu'on y trouve la Vérité, l'Unité, le Créateur, la Conscience et c'est qu'en pratiquant qu'on peut le trouver. Ce n'est pas en y réfléchissant, en lisant. La spiritualité c'est pratique. C'est en faisant, en se donnant par nos actes qu'on peut communier avec cette force de vie. 

C'est en faisant qu'on peut être conscient, avec la Voie on a les outils très efficaces, très justes pour permettre d'être conscient le plus possible dans sa vie.


Après, tout se met en branle, on voit la Grâce s'occuper de nous, on est dans la guidance, dans l'harmonie, dans la Vérité justement et qu'elle sous-tend tout, elle est la base, l'essentiel. On en prend conscience, on réalise que c'est ainsi. 


On ne la détient pas cette Vérité au contraire, c'est elle qui nous maintient en vie et qu'on y croie ou pas, qu'on pense quelque chose à son sujet ou pas n'y change rien. Elle est là, par contre si on s'en rend compte, on en a tous les bénéfices, tous les bienfaits. 


Si on veut bien s'effacer un peu et lui laisser la place, la mettre en avant… autrement dit se soumettre, si on met la Vérité, le Saint-Nom, Dieu en premier et bien nous, on est en dessous, c'est ce que veut dire se soumettre.


Ce n'est pas compliqué, c'est très simple et cette pratique, elle englobe toute notre existence, c'est normal puisque tout est fait de et par le Saint-Nom. Tout n'est qu'unité en dedans et en dehors mais c'est plus près en dedans et c'est en la regardant, en la contemplant en le connaissant intimement à l'intérieur qu'on peut la reconnaître à l'extérieur. 



La vérité suprême est au-dedans comme au-dehors, dans le mobile comme dans l'immobile; elle dépasse le pouvoir de perception de l'entendement lié aux sens matériels. Infiniment lointaine, elle est aussi très proche. (Chant du Bienheureux chap. 11.9)




On le voit avec certitude. On le reconnait, on sait qu'il s'agit bien là de l'essentiel, on distingue plus facilement ce qui est juste ou faux. Il faut se lancer sur la Voie et pour cela, il faut en avoir soif. Est-ce qu'on écoute plus cette soif de l'âme ou plus la confusion, la vanité. C'est ça le point de départ. Qu'est-ce qu'on veut suivre, c'est toute la question.

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mardi 11 décembre 2018

La soumission à Dieu




Il y a un mot qui fait peur, que bien des gens n'aiment pas c'est le mot « soumission ». Je voyais un post sur FB il y a quelques jours qui disait parmi d'autres choses très justes qu'il n'est pas nécessaire de se soumettre à Dieu ou autre mot utilisé pour parler de Lui.


Pourtant se soumettre, c'est justement ce qui libère, ce qui permet d'être en communion avec Lui, de pouvoir être conscient et de s'abandonner à Lui, encore faut-il savoir ce qu'on entend par soumission.


On est si petit, si faible, on a besoin de lui pour vivre. Il est infini ! Quelle idée de croire qu'on n'a pas besoin de se soumettre à Lui, quelle vanité ! C'est évident quand on a tellement soif de Lui que cela devient notre première préoccupation, il devient la chose la plus importante dans notre vie, il vient en premier, alors on se soumet avec bonheur et cette soumission ouvre une dimension incroyable dans la vie, c'est fabuleux !


C'est quand on se soumet aux trois piliers de la voie, au Saint-Nom en pratiquant la technique plutôt qu'en se laissant mener par sa vanité, c'est ça se soumettre à Lui. 


Quand on est amoureux de cette force qu'on a pu découvrir en soi et qu'on fréquente, on s'y soumet naturellement et ce mot n'est plus un « gros mot » bien au contraire. L'obéissance, la soumission est ce qu'il faut sur une vraie voie spirituelle pour pouvoir s'écarter de sa vanité, s'écarter du faux-égo, de la confusion et prendre ce recul nécessaire, lâcher-prise pour pouvoir redevenir cet enfant qui ne demande pas mieux que de se blottir dans ses bras, se réfugier en Lui. Si on ne se soumet pas, ce n'est pas possible.


La soumission va de paire avec l'humilité, c'est aussi un mot peu apprécié et c'est bien dommage parce qu'une fois qu'on a accepté c'est là qu'on peut commencer à marcher sérieusement sur la Voie et en retirer toute la substantifique moelle. On est alors en mesure de réaliser la puissance de cette Voie qui est si simple, simpliste pour certains mais qui amène vraiment au but final. Elle fait découvrir le sens de notre existence et est la manière parfaite et optimale de vivre. 


Elle nous ramène à Lui, déjà dans notre vie de tous les jours. La Voie nous ramène au centre là où on peut Le trouver dans l'instant et nous ramène à Lui après aussi par la libération finale. C'est en étant dans la soumission pratique à Lui, pas la soumission à un dogme, à une idée, un concept, un croyance, une tradition mais dans les actes

C'est dans les actes qu'on se soumet. Par la méditation, revenir au Saint-Nom quand on en est sorti, le mettre Lui en premier et pas soi sous forme de vanité et autre. C'est ça cette soumission qui finalement permet de goûter à cette liberté que tant de personnes cherchent et prônent, c'est la liberté de la confusion, de ses pensées et on la trouve en se soumettant au Saint-Nom.

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mercredi 5 décembre 2018

Il n'y a plus qu'à…



Je me rends compte qu'à force de pratiquer, d'être dans l'observance des 3 piliers  de la Voie que ça marche vraiment. Finalement, c'est simple mais c'est surtout juste une question de prendre conscience de ce qui est déjà là. On n'a pas besoin de fabriquer quelque chose. Tout est là et il faut y être attentif. C'est simple ! 


À force de plonger dans le Saint-Nom, de lâcher-prise, on s'aperçoit que c'est tout bête, le Saint-Nom est toujours là, et heureusement ! Il n'y a plus qu'à être attentif… ce « il n'y a plus qu'à » est de plus en plus évident, naturel presque automatique. 


Je ne me pose plus de question, je ne me prends plus la tête avec la pratique comme au début ! Aujourd'hui, je suis plus détendue, détachée, heureuse de vivre sous le regard de Dieu et de profiter de Lui, de la vie avec Lui, de la vie en étant consciente.


Et ça change tout !


Je me sens tellement plus libre, libéré de la confusion en résumé, de la vanité. C'est quelque chose de difficile à expliquer mais c'est fabuleux. Je sens que c'est la manière correcte de vivre. Cette manière qui a été prévue pour nous de vivre, c'est certain. 


On est pleinement à ce qu'on fait, pleinement dans la conscience et il n'y a pas grand chose d'autre à dire. C'est fabuleux. À force de le faire, c'est une évidence même si je ne l'aurais pas cru il y a encore quelques années.


Tu me disais il y a longtemps que c'était simple, mais je ne le comprenais pas. Aujourd'hui je dis aussi que c'est simple, évident, c'est facile, naturel, clair.


La pratique assidue et constante et le résultat vient. Je suis obligée de constater que c'est le cas et je me réjouis de continuer à pratiquer et d'être dans la conscience du Saint-Nom.

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lundi 3 décembre 2018

La vie en conscience



J'aime écrire et partager le bonheur de ma vie présente. C'est tellement différent de ma vie d'avant ! Je ne suis plus embourbée dans la confusion pleine de souffrance.

Il fut un temps où j'avais parfois l'impression que ma tête allait exploser tant était forte la pression.  J'étais l'objet soumis à mes pensées qui m'emmenaient parfois très très loin de la paix.

Aujourd'hui, c'est le calme, le silence, la paix, la sérénité et plus encore qui prédominent. C'est l'harmonie qui guide ma vie et non plus les aléas plus ou moins bons des circonstances et du karma. 

La vie peut être si belle quand on la voit en étant au bon endroit ! Bien sûr que les souffrances des autres me touchent, ce n'est pas la question mais je ne suis plus emportée dans des états d'âme qui me bloquent, qui m'empêchent d'être dans la paix intérieure.

C'est seulement en étant dans cette paix intérieure que je peux aller dans le monde avec sérénité et sans débordement d'émotions vaines.

La porte vers l'intérieur ne referme pas vers l'extérieur au contraire, elle est grande ouverte dans les deux sens, la pratique de la Voie est un plus pas un moins dans l'existence.

Le plus de la conscience, de l'harmonie, de la paix, de la béatitude, du bonheur vrai, de la libération de ces attachements.

L'existence avec la conscience en plus de l'essentiel, de la présence bienveillante du Créateur à chaque instant, de sa rassurance, de sa compassion… c'est un cadeau inouï qu'il nous fait sans cesse, à nous de l'accepter, de le prendre et d'en être reconnaissant. 

C'est simple de se sentir aimer de Dieu, de se sentir entre ses mains et de lâcher-prise.

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samedi 1 décembre 2018

Se laisser faire



Je me laisse de plus en plus mener par le Saint-Nom parce que j'en ai assez de perdre mon temps dans la confusion. C'est tellement mieux d'être dans le Saint-Nom et de le laisser faire, le laisser prendre les rennes de ma vie. Je fais ce qu'il faut pour ça. L'observance des 3 piliers de la Voie cadre ma journée et conditionne mon temps. Je suis beaucoup plus tournée vers Lui dès que ça commence à «chauffer» dans ma tête, je reviens vite vers Lui car il est vraiment ma planche de salut ! Il est le seul moyen pour que je ne me perde pas parce qu'au bout du jour, d'être fatiguée, hors de moi ce n'est pas agréable. 

Bien sûr, je pratique avec des hauts et des bas depuis que j'ai reçu la Révélation mais j'ai sans cesse besoin d'être motivée, remise au centre que ce soit par un satsang, par un mot du guide, n'importe quoi qui me fait souvenir de revenir à Lui, de me dédier à Lui.

Faire ce que j'ai à faire au bon moment, avec rigueur, c'est une Grâce de pouvoir être consciente et de vivre dans les meilleures conditions possibles pour accomplir ma destinée. J'en suis reconnaissante ! C'est la Grâce qui m'a amenée ici et c'est merveilleux de pouvoir vivre cette existence en conscience de Lui.


C'est merveilleux de pouvoir vivre dans un endroit, bien cadré avec une routine qui me libère ! C'est ce qu'il me faut car si je n'ai pas ce cadre, je pars très vite dans la confusion. Les bénéfices que je trouve à l'intérieur sont si parfaits, c'est la vie que j'aime mener.

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Rigidité ou cohérence
La confusion n'aime pas la paix
Pratiquer le Saint-Nom


mercredi 28 novembre 2018

Hors du temps



C'est fou ce que ça peut être beau et paisible à l'intérieur de soi. C'est incroyable ! Autour ça peut tourner, s'exciter, s'emballer quand on se tourne vers le Saint-Nom, c'est doux et paisible. C'est le meilleur endroit où on puisse être et parfois j'ai la sensation d'être assise au bord de l'infini et que le temps passe, s'écoule à l'extérieur de moi alors que moi, je suis là, stable. Je suis dans l'œil paisible et calme du cyclone hors du temps. Je perds la notion du temps, c'est un peu difficile à expliquer. Je suis dans la stabilité qu'il me faut, qui est douce, accomplissante, paisible. C'est la paix intérieure et quoi qu'il arrive de tempétueux à l'extérieur, à l'intérieur c'est toujours beau, parfait, harmonieux.

Il ne tient qu'à moi d'y aller, parfois comme en ce moment, c'est plus difficile d'y aller… cela me demande plus de volonté, de détermination pour le faire mais une fois que je suis dans la méditation ou le Service, c'est magnifique. Ce n'est pas grave, c'est un peu déplaisant parce que je réagis par le mental. Ce sont des moments moins agréables mais je dois continuer à pratiquer du mieux possible et avoir confiance dans la pratique. Il n'y a que là que je peux être à l'abri de pire encore.

Ce n'est pas grave ce qui m'arrive aujourd'hui quand je compare à me vie d'avant ou que je vois sur FB des personnes parler de leurs états d'âme, ce n'est pas facile, c'est douloureux, plein de souffrance alors quand je vois ma vie aujourd'hui, c'est l'harmonie qui prédomine. Ce ne sont plus les émotions, les peurs, les inquiétudes et autres pensées qui me guident. Ça fait un grosse différence ! 


Alors si j'ai parfois quelques difficultés à être dans le Saint-Nom, ce n'est rien ! Je sais que ça passe…c'est l'avantage de l'expérience des années. Je sais que ça passe, les nuages noires passeront et derrière, il y a le soleil ! Tout sera de nouveau au mieux et en attendant, merci, merci de pouvoir au moins être dans l'observance des 3 piliers, au plus près du milieu et ne pas me perdre trop loin dans la confusion.


Satsang sur le même thème écrits par Sri Hans Yoganand ji

vendredi 23 novembre 2018

Pas besoin d'être fort pour trouver la Paix intérieure




Quand je ressens fortement le Saint-Nom, j'ai l'impression qu'il déborde et à ce moment-là, j'ai besoin de partager, de dire le bonheur, la paix, la sérénité qu'il me donne. C'est dense ce que je trouve dans la conscience du Saint-Nom et quand il déborde j'ai besoin de dire au monde entier qu'il est merveilleux.

Je peux le dire en donnant satsang, ce n'est pas pour convaincre ni gagner plus de pratiquants à la Voie ! Peu m'importe. Simplement, cette force que je ressens à ce moment-là me pousse à crier sur les toits….. je peux aussi  plus simplement partager sur FB. C'est à prendre comme ça, il n'y a pas d'arrière-pensée, de stratégie ou autre, seulement l'amour du Saint-Nom qui monte en moi et que je dois dire, prononcer, écrire. 

Parfois, j'écris des textes dévotionnels qui chantent ses louanges parce que je suis comme une adolescente amoureuse pour la première fois. Je suis émerveillée par cet amour présent en moi. Ça ne dépend que de moi de me tourner vers lui et d'y puiser autant que je veux. Il est toujours là, c'est fantastique et je me rends compte, je réalise que le Saint-Nom est toujours là et que c'est seulement à moi de me tourner vers lui. 

Avec les 3 piliers de la voie, j'ai comme un mode d'emploi avec les outils à ma disposition qui permettent d'avoir le bon état d'esprit pour réaliser la présence du Saint-Nom ici et maintenant. Pour être dans cet instant qui est sa demeure. Il est là tout entier dans l'instant et pour que nous soyons dans cet instant, ce n'est pas automatique, on a besoin d'une méthode et celle de la voie est très efficace et globale. Elle n'est pas un concept, une pensée mais une pratique.

Quand on y plonge souvent, qu'on fréquente assidument cet instant présent, intimement, on se rend compte que c'est infini, tout puissant, tellement grand, et qu'on est tout petit, faible et que c'est justement ça, on a pas besoin d'être fort pour se tourner vers Lui. On n'est pas capable, on est faible et s'en remettre à lui par la pratique, ça change tout.

Je sais que de dire que ça change tout, ce n'est pas très explicite mais est-ce bien important, ce qui compte c'est de le vivre et là on se rend compte de sa suprématie, de sa toute-puissance, de cette Vérité universelle. 

Il y a tellement de choses qu'on pouvait croire mais qui tombent en ruine car on se rend compte en pratiquant que c'était faux, vain.

Quand je suis dans cet état où le Saint-Nom déborde, ce n'est pas un concept, une idée, une pensée, c'est du vécu à l'intérieur et ce n'est pas rien ce qu'on peut trouver à l'intérieur.

Satsang sur le même thème écrits par Sri Hans Yoganand ji




mardi 20 novembre 2018

Sous le regard de Dieu



J'ai fait une belle expérience aujourd'hui pendant mon Service (un des 3 piliers de la pratique de la Voie)… plus que d'habitude. J'étais vraiment sous le regard de Dieu. Je ressentais ce regard posé sur moi pendant que je travaillais. Ce n'était évidemment pas un regard de jugement qui aurait pu me faire peur mais un regard plein d'amour. Ce n'est même pas ça qui m'a le plus touchée à ce moment-là mais simplement le bonheur d'être sous son regard. 

J'étais heureuse d'être en sa compagnie, d'être consciente de sa présence, j'étais heureuse comme quelqu'un qui est amoureux et qui a la personne qu'il ou elle aime à côté de soi. J'avais envie de faire ce que je faisais bien pour lui. C'était simple. Ressentir ce regard posé sur moi était quelque chose de fabuleux ! Cette présence était un peu différente de ce que je ressens habituellement comme le sourire-intérieur quand je pratique la technique de méditation du Saint-Nom, je ressentais un regard qui me comblait de bonheur et quand par moment je le quittais, j'étais un peu perdue alors vite, je revenais dans son giron pour être avec lui. 

Vivre cela dans le Service était merveilleux, passer ma journée en étant pas seule. Cette présence puissante, toute-puissante, comme un père, rassurante et en qui je peux mettre toute ma confiance, je me m'y reposer entièrement ! Je suis arrivée là où il faut et je n'ai plus qu'à me laisser embarquer pour le reste de mon existence sur ce bateau. Je n'ai plus d'inquiétude. Je suis arrivée à la maison, je la reconnais cette maison. Je sais que je suis au bon endroit et j'ai retrouvé mon Seigneur. Ce n'est pas un concept mais une expérience vécu et après j'y colle des mots qui valent ce qu'ils valent. C'est l'expérience qui compte d'abord et aujourd'hui elle était particulièrement forte.

Satsang sur le même thème écrits par Sri Hans Yoganand Ji

mercredi 31 octobre 2018

Ce qui donne des couleurs à la vie




C'est dans le silence que je peux me reposer dans le Saint-Nom, entendre sa Musique, voir sa Lumière, ressentir sa Douceur, dans le silence des pensées, dans le silence intérieur de la vacuité. Là rien de ce qu'on peut croire, penser, de ce qu'on peut imaginer n'a de place. Nos sentiments, nos sentiments ne font que nous éloigner de cette paix… de cette Béatitude.

Plus on est plein de soi, de vanité, de pensées, de concepts, d'opinions, d'avis, de croyances moins on peut s'abandonner à ce silence intérieur. 

Je vois bien la différence entre les premiers temps et aujourd'hui,  maintenant c'est beaucoup plus facile d'écarter mes pensées et de ne pas en avoir beaucoup quand je médite alors qu'au début, il y avait un sacré brouhaha dans ma tête. 

Mais à force de pratique, de détachement, de lâcher-prise, d'humilité, de simplicié toutes ses vertus qui viennent à force de pratiquer. Alors bien sûr dans la méditation, c'est plus facile, plus évident, plus claire. J'en ressors plein, satisfaite sans autres désire. Je n'ai pas de désir, c'est parfait. 

Quand je repars dans ma journée le lendemain, je suis rechargée comme une pile de Saint-Nom et je peux vaquer à mes occupations comme aujourd'hui, attendre dans une fil, le ciel était gris, triste, il faisait froid mais c'était beau, ça sentait la neige de mon enfance, attendre ou pas qu'importe le Saint-Nom est toujours là et me remplit de sa douceur. Bien sûr, j'aurais pu faire des choses plus agréable que d'attendre mais ce n'est pas grave, l'important j'étais dans cette conscience et j'en profite. Le soir, je sais que j'ai passé une journée riche parce que j'étais conscience du Saint-Nom et de la Béatitude, de la Paix intérieure. Je n'ai pas loupé le coche et que j'aie fait ceci ou cela n'est pas grave, c'est mon existence et comme tout le monde, il y a des choses plus agréables à faire et d'autres moins ou même embêtantes ou super. C'est normal mais quand on est dans la guidance, dans la Grâce et la simplicité, on se fond plus dans l'harmonie et c'est mieux évidemment. 

Le principal dans ma vie est d'être consciente du Saint-Nom et pour cela observer les 3 piliers. C'est devenu toute ma vie sans pour autant que le reste soit négliger. Ce n'est pas ou/ou fromage ou dessert, non on ajoute quelque chose en plus à notre existence : la conscience. C'est ce qui fait toute la différence et donne des couleurs à la vie. Est-ce qu'on peut aimer quelqu'un aussi et est-ce que cette personne doit aussi être conscience pour qu'on puisse l'aimer etc. j'avais eu une discussion à ce sujet sur FB mais la personne ne pouvait pas comprendre que ce n'est pas ou l'un ou l'autre, c'est les deux. On a la conscience en plus de tout le reste et c'est ça qui rend la vie merveilleuse. Si on met la conscience en premier, le reste vient en second mais ce n'est pas moins important, on doit simplement mettre le plan de la conscience en avant et on devient la créature de son créateur.

Satsang sur le même thème écrits par Sri Hans Yoganan ji :

Se taire et changer son regard
Virus, lumières et vanité
Foi n'est pas croyance


samedi 27 octobre 2018

Le subtil devient évident



(Avant de donner satsang, nous chantons un chant dévotionnel «Twamewa» qui commence par ces paroles)

Tu es mon tout, mon Seigneur mon tout… on a tout dit et voilà.

Plus je suis consciente de Lui, plus il prend de place en moi et dans mon existence, plus je me rends compte qu'il est tout-puissant, qu'il est tout. Il est dedans et dehors, dans le petit et dans le grand.

 Infiniment grand et petit, il y a de L'Un en tout 
(Bhaktimàrga 1-1-2)

Pourtant je ne comprends pas grand-chose à Dieu mais c'est vrai qu'il est mon doudou, mon père, ma mère, mon frère, mon ami. C'est une relation différente à chaque fois, on n'a pas la même relation avec son père, sa mère, son frère… la relation est différente, l'amitié, l'amour est différent et c'est ce que je retrouve dans le Saint-Nom qui est tout à la fois. Cette relation intime que j'ai avec lui est encore autre chose, plus subtile et encore plus grande, plus globale. Cette «connexion», cette conscience ne s'explique pas et peu importe d'ailleurs car elle doit se vivre en premier. On ne peut comprendre intellectuellement ce qu'est la relation intime au Saint-Nom. 

Si on veut d'abord essayer de comprendre en premier sur la Voie, on est mal parti, on pratique d'abord, on se met dans l'observance des 3 piliers et petit à petit, on réalise, on comprend et on est tout étonné de voir des «évidences» remonter à la surface de la conscience. Mais ces évidences, on le remarque après coup, n'étaient finalement pas si évidentes que ça, elles n'étaient pas le fruit d'une compréhension profonde de l'âme.

On continue la pratique sans s'attacher à ses compréhensions, elles ne sont pas définitives, chaque jour, chaque instant a une nouvelle réalisation.

Si on a besoin de quelque chose, on va le chercher dans le Cloud, on est un pion relié au tout et on ne peut que s'abreuver directement à Lui. Juste chercher à être conscient de cette plénitude.

Il est ce qui devrait venir en premier et au second plan, on met le reste de notre existence. 

Le Christ a dit Ne te soucie pas d'abord des vêtements que tu porteras Ni de ce que tu mangeras Soucie-toi en premier de L'Un et de Son Royaume

(Bhaktimàrga 2-3-14)


Le premier plan, c'est d'être conscient de Lui et en étant conscient de Lui, je me suis aperçue que beaucoup de choses ont disparus parce qu'inutiles et d'autres choses se sont mieux emboîtées comme les pièces d'un puzzle qui finalement forment une image claire. Tous ces petits morceaux éparses sont venus petit à petit à force de pratique se mettre ensemble au bon endroit pour former une image claire et me permettre d'avoir une vie beaucoup plus simple déjà, plus évidente tout simplement et c'est déjà beaucoup !! Quand on est moins influencé par des idées préconçues, des opinions auxquelles on tient absolument, des traumatismes du passé, des croyances et bien, on se sent beaucoup mieux, bien plus léger.


On est débarrassé de la poussière accumulée au fil des ans, on se retrouve un peu tout nu et c'est de cette manière qu'on est le mieux à même d'être conscient de ce qui est sous-jacent et semble si ténu. Mais quand on en a conscience, on s'aperçoit que c'est l'illusion qui est ténue, qui disparait vite quand on n'y prête plus attention. Quand on se plonge dans la Vérité universelle, dans le Saint-Nom, on voit que c'est vrai, durable, solide et que c'est tout ce qu'on croyait, pensait qui n'est que du vent, rien. Le subtil devient évident.

Satsang sur le même thème écrits par Sri Hang Yoganand ji







mardi 23 octobre 2018

Instant après instant



Quand je repense à ma vie avant d'avoir reçu la Révélation de la Voie, même longtemps avant quand je repense à ma maman. Elle était quelqu'un de très tendu, d'inquiète et qui ma sans doute transmis cette tension puisque moi aussi c'est l'état dans lequel je me trouve quand je n'y prends pas garde. Je suis très vite crispée et la vie devient difficile. Quand ma bloque, ce n'est pas fluide et harmonieux. Je me souviens qu'elle n'était pas très heureuse dans cet état. Elle ne vivait pas dans l'harmonie

Je sais aussi que c'est ce qui me pend au nez quand je sors de la pratique parce que je me laisse très vite prendre et je sens cette crispation se former et me bloquer dans mes actes qui sont alors guidés par ce nœud et ce n'est pas agréable du tout.

Heureusement que je connais la Voie et sa pratique parce que je peux m'en remettre au Saint-Nom par la méditation, je suis détendue et relaxe parce que j'ai remis ma vie entre ses mains et je n'ai pas de raison d'être tendue, prise dans un mental qui surchauffe. J'ai du recul et une profonde satisfaction et certitude d'être au bon endroit. La Grâce me porte et mon existence est plus simple, plus belle et harmonieuse.

C'est dans cet état-là que je suis mieux, il n'y a pas à discuter. Simplement le fait de vivre harmonieusement, simplement, tranquillement, calmement dans la Paix, c'est tellement mieux que de ne pas y être. Ça vaut la peine de pratiquer surtout que cette pratique n'est pas pénible !

C'est tellement mieux de ressentir cette Paix et un peu plus même, j'ai envie de pratiquer de plus en plus parce que je me sens accomplie. C'est suffisant, pourquoi chercher plus d'explications de mots. C'est simple, pas besoin de faire des phrases alambiquée ou tordues pour dire simplement, c'est beau, c'est parfait, c'est la simplicité, c'est l'harmonie. Si on en a envie, c'est là qu'on la trouve. 

Il y a toujours moyen d'approfondir, d'affiner cette conscience. Si on croit être arrivé, on se trompe, il y a toujours de la marge et encore, si c'est infini la marge est très grande !

Ce que je comprends et réalise est valable dans l'instant et dans l'instant suivant, il y a une autre compréhension, une autre réalisation, un autre instant dans lequel s'abandonner et plonger sa conscience. Après chaque instant, il y en a un autre et ainsi de suite jusqu'au bout.

Satsang sur le même sujet écrits par Sri Hans Yoganand ji





mardi 16 octobre 2018

Le jour et la nuit



J'aime me retrouver dans la douceur du Saint-Nom, dans cette Paix, cette sérénité. C'est un endroit-état que j'affectionne et où je peux être à volonté. En partant de là je peux faire ce que j'ai à faire et quand je suis vraiment dans le truc, je vois bien que ce que je fais passe au second plan. L'important est de quel point on part pour agir et quand je suis dans la conscience du Saint-Nom, tout ce que je fais à une autre couleur, une autre densité, c'est autre chose pourtant, quand je suis par exemple en train de travailler sur mon ordinateur si je suis dans mon mental, pas forcément à psychoter, mais dans le mental, je suis plus vite fatiguée, je suis «chargée» et je me sens au bout d'une journée à plat, j'ai l'impression d'avoir perdu ma journée, d'avoir perdu mon temps, c'était une journée inutile. 

Au contraire quand je suis dans la conscience du Saint-Nom, je pars du bon endroit et je peux faire exactement la même chose, travailler à mon ordinateur et pourtant quand j'arrive au bout de la journée, je suis pleine, pleine de cette douceur, de cette paix même s'il y a eu des difficultés, des tensions dans la journée à cause de circonstances extérieures. À la fin de la journée, je me sens accomplie, heureuse tout simplement d'être sous le regard de mon père et ce n'était pas une journée inutile, vide. 

C'est ce qui fait toute la différence. Les jours où je ne suis pas autant dans la conscience du Saint-Nom, je me sens vide quand j'arrive au bout de la journée. Le soir, je me dis «tu n'étais pas dans le flot aujourd'hui et je sens que je suis passée à côté de l'essentiel. Mais les jours dans la conscience, je vois bien que je suis dans quelque chose qui va au-delà et qui englobe toute mon existence et m'emmène je ne sais où mais c'est chez moi. Je sais que c'est bien et pour mon bonheur. 

C'est une dimension de plus que j'ai dans ma vie même si je fais exactement la même chose dans mes actes. Il y a une couleur, une densité différente simplement parce que je suis dans la bonne posture intérieure et en ayant la conscience au bon endroit. Ce n'est pas une question de ce que je fais mais le point de départ où je suis quand je fais les choses.

C'est en pratiquant les 3 piliers qu'on peut s'en rendre compte et qu'on peut prendre du recul sur notre mental et notre vanité. On voit alors l'effet que cette conscience a sur nos actes et nos paroles. C'est complètement différent, le jour et la nuit.

Je préfère de beaucoup le jour à la nuit et le Saint-Nom à la confusion. Cette force du Saint-Nom qui me porte dans ces journée où je suis particulièrement attentive à lui est fabuleuse. Je n'ai pas envie d'en sortir, c'est là que je suis le mieux et je sais que c'est en observant les 3 piliers de la Voie que je peux avoir cette conscience. 

C'est merveilleux de pouvoir le faire, être dans le jour plutôt que dans le nuit et ça n'a aucun prix. Le prix est notre vanité, accepter de lâcher-prise et pratiquer la technique du Saint-Nom, elle est fondamentale, essentielle et révélée sur la Voie. Elle ne s'apprend pas dans un livre et elle apparaît évidente quand on la connaît mais encore faut-il la pratiquer car il y a quelque chose en nous qui n'aime pas ça. Tout dépend alors de notre soif et je sais plus je suis dans cette Paix, plus je la fréquente plus n'en ai besoin et plus j'y suis.

Satsang sur le même thème écrits par Sri Hans Yoganand ji



jeudi 11 octobre 2018

La vie en trois dimensions




J'ai seulement envie de sourire, du sourire intérieur et du sourire qui se dessine sur mes lèvres. Quand le sourire intérieure est plus intense, il déborde à l'extérieur et je me sens pleine de joie, de félicité, de bonheur, d'allégresse.

C'est mon doudou quand les choses vont moins bien, c'est la couette sous laquelle je peux me mettre à l'abri pour profiter de l'instant présent dans la conscience du Saint-Nom et me laisser aller à sa Douceur, à sa Bonté, sa Compassion. Je ressors pleine d'énergie et de détermination à continuer à pratiquer tout en étant dans le monde et y faire ce que j'ai à faire en gardant ce doudou avec moi. Je n'oublie pas de le garder près de moi en pratiquant. 

La première chose est d'être consciente de Lui et après le reste est secondaire, que je doive travailler ou pas, faire le ménage, les courses ou autres choses, il est toujours en toile de fond de mes journées.

C'est lui qui donne un sens à ma vie qui met des couleurs sur mes journées. Le reste est aussi important comme de gagner des sous, de faire des courses avec une liste pour ne pas acheter n'importe quoi, de faire le ménage pour avoir une maison agréable à vivre mais ce qui doit venir en premier, c'est la conscience de Lui. 

Ce passage entre le fait que c'est lui qui passe en premier et non pas l'activité que je suis en train de faire, c'est un changement de regard qui change tout et qui fait de ma vie une vie spirituelle, une vie en trois dimensions puis qu'il est là, la troisième dimension. 

Je suis alors entière et je découvre quelque chose de plus dense, de plus complet. C'est comme quand on a un dessin en 2D ou une maquette en 3D. Le même bâtiment dessiné peut être magnifique mais en 3D, c'est n'est plus pareil, ce n'est pas la même chose.

C'est pareil quand on vit en 3D, on se rend compte que la vie en 2D, c'est un peu fade. Cette dimension que donne le Saint-Nom à ma vie me rend pleine. C'est la part qui manque quand on ne l'a pas. C'est une fois qu'on l'a trouvée, intégrée, quand on pratique, qu'on se rend compte qu'elle nous manquait, cette dimension. On savait peut-être avant qu'il nous manquait quelque chose mais sans savoir quoi précisément.

Quand on a trouvé, on a plus besoin de chercher, on a trouvé ! On est complet et il ne reste plus qu'à rester avec cette troisième dimension, la conscience du Saint-Nom. Ce n'est pas toujours évident, il y a les 3 piliers, la posture intérieure, l'agya, l'enseignement du guide pour nous permettre de toujours revenir en soi au bon endroit.

C'est ce qu'il faut faire mais ce n'est pas si grave ! Au contraire, c'est très agréable de vivre dans ces trois dimensions.

Satsang sur le même sujet écrits par Sri Hans Yoganand ji

mardi 9 octobre 2018

Tableau comparatif avant-après

Je me suis amusée ce matin à faire une liste des qualités/vertus/bienfaits que la pratique de La Voie m'apporte et de mettre en comparaison ce qui prévalait dans ma vie avant.


Simplicité
Vie compliquée, esprit compliqué, pensées compliquées
Humilité
Sur-évaluation et sous-évaluation de soi, manque d’objectivité, orgueil, vanité
Détachement (lâcher-prise, acceptation)
Attachement à soi, à ses pensées, à ses idées, à ses concepts, à ses croyances…
Besoin
Désirs
Sobriété
Excès en trop et en trop peu
Vie calme (routine)
Vie trépidante, découvertes, excitation
Devoirs, responsabilité
Fausse liberté
Paix intérieure
Souffrance
La connaissance révélée (non-apprise)
Les connaissances et les concepts
Maîtrise du mental
États d’âme (émotions, sentiments, pensées)
Conscience
inconscience
Harmonie
confusion
Simplicité
Vie compliquée, esprit compliqué, pensées compliquées
Humilité
Sur-évaluation et sous-évaluation de soi, manque d’objectivité, orgueil, vanité
Détachement (lâcher-prise, acceptation)
Attachement à soi, à ses pensées, à ses idées, à ses concepts, à ses croyances…
Besoin
Désirs
Sobriété
Excès en trop et en trop peu
Vie calme (routine)
Vie trépidante, découvertes, excitation
Devoirs, responsabilité
Fausse liberté
Paix intérieure
Souffrance
La connaissance révélée (non-apprise)
Les connaissances et les concepts
Maîtrise du mental
États d’âme (émotions, sentiments, pensées)
Conscience
Inconscience
Harmonie
Confusion
Grâce et guidance
Karma
Sens/but de la vie, retour « chez soi », accomplissement
Chercheur de vérité